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, Chapitre 4

. .. , Matériau modèle -Hydrogels Sommaire 4.1 Imbibition capillaire dans des hydrogels saturés, p.166

, Analyse

.. .. Conclusion,

.. .. Références,

, nous avons observé une dynamique de plusieurs ordres de grandeur plus lente. Ces résultats sont comparables aux résultats d'imbibition dans le bois avec de l'eau : la dynamique d'imbibition dans les vaisseaux est contrôlée par l'adsorption et la diffusion de l

. Ensuite, De nouveau, nous avons remarqué que les conditions de mouillage dépendent de la teneur en eau dans la paroi : dans le gel saturé nous avons un ménisque classique avec un petit angle de contact, alors que dans le gel déshydraté on observe un déplacement très lent avec une interface plane. Nous pouvons aussi trouver des observations analogues dans le bois avec les images Synchrotron, sur lesquelles on peut identifier deux zones, dont une zone humide avec des ménisques et une zone d'imbibition avec des déplacements d'interfaces pratiquement planes. Par ailleurs, un des avantages de l'hydrogel est que nous pouvons directement observer la diffusion dans la paroi d'hydrogel sous forme du front de déformation, grâce à un effet d'optique. Le front de déformation reste devant l'interface, ce qui est cohérent avec nos résultats d'IRM obtenus avec les échantillons de bois. Enfin, l'étude sur la dynamique de l'interface nous

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, Chapitre 5

, Séchage du bois Sommaire 5.1 Séchage d'un milieu poreux modèle saturé de liquide, p.184

.. .. Séchage-d'eau,

, Séchage du bois selon les directions transversales

.. .. Discussion,

.. .. Conclusion,

.. .. Références,

, Comme le bois vert contient généralement 150% d'eau, nous arrêtons l'imprégnation d'échantillons lorsque la teneur en eau est supérieure à 150 % et nous commençons le séchage. La teneur en eau maximale est de 180 %. Des expériences répétées avec des échantillons dont la teneur en eau initiale varie entre 150 et 180 % donnent des résultats similaires, Étant donné que la porosité d'échantillons de peuplier est 0,7, les lumens dans cet échantillon ne sont pas complètement saturés en eau libre

, Par souci de clarté, les profils d'eau liée ne sont pas exactement montrés aux mêmes instants que ceux d'eau libre sur la Fig.5.8. front continue à se vider uniformément. L'évolution de la distribution d'eau libre est également observée sur les images IRM (voir Fig.5.10). Rappelons que le signal d'eau sur ces images représente essentiellement l'eau libre. Sur la Fig.5.10 on observe d'une part que, l'intensité de signal diminue progressivement sur toute la hauteur de l'échantillon, vol.130, p.120

. Au-contraire, Afin de vérifier le lien entre les évolutions de l'eau libre et de l'eau liée, nous traçons de nouveau la position du front d'eau libre (considéré à 0, 002g /g ) en fonction du temps et la comparons avec celle du front d'eau liée (considéré à 0, 015g /g en raison de l'hétérogénéité de l'échantillon ) sur la Fig.5.11. On voit encore une fois un bon accord entre les dynamiques de l'eau liée et de l'eau libre, ce qui suggère un processus en sens inverse de l'imbibition : les pores se vident d'abord en eau libre avant de se désaturer en eau liée dans les parois cellulaires. Par ailleurs, nous remarquons que le front sec d'eau liée durant les 100 premières heures sur la Fig.5.9 semble être plus abrupt que celui observé pendant l'imbibition. Estce que la forme du profil d'IRM représente bien la vraie forme du front sec ? Pour répondre à cette question, les mesures de déformation sont effectuées en parallèle avec les mesures FIGURE 5.12 -Profils d'eau liée mesurés par IRM (lignes) et distribution d'eau liée déduite par mesure de déformation (points ronds), nous observons essentiellement le développement d'un front sec apparent tandis que l'échantillon ne se désature pas en profondeur

, Étant hygroscopique, les parois cellulaires interagissent avec la vapeur d'eau. De plus, ces parois forment elles-mêmes un milieu continu. À la surface libre, elles sont exposées à l'air sec

, nous pouvons décrire ce qui se passe au cours du séchage d'eau dans le peuplier : au début du séchage nous avons un premier régime avec désatu-ration en eau libre sur toute la longueur de l'échantillon, suivi par un deuxième régime où un front sec (l'interface eau-air) pénètre progressivement dans l'échantillon, En comparant les courbes de séchage (Fig.5.5 et Fig.5.6) avec les distributions de teneur en eau (Fig.5.8 et Fig.5.9

, Avec cette vision claire de la répartition d'eau dans l'échantillon, nous pouvons maintenant analyser

L. Dans-le-premier-régime and . Taux, de séchage résultant de la disparition d'eau liée est né-FIGURE 5.15 -Courbes de séchage en fonction du temps dans les trois directions anisotropes : L, R, T. FIGURE 5.16 -Taux de séchage en fonction de la teneur

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